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Du sourcing à la certification : 5 leviers pour intégrer le label bio dans votre projet food

Dans le cadre du programme Foodup, les porteurs de projets ont plongé dans le monde du label bio et de l’approvisionnement wallon avec Biowallonie.

Objectif : comprendre comment intégrer l'approvisionnement bio dans son produit alimentaire, de façon réaliste, stratégique … et sans perdre son énergie à courir après le bon fournisseur. On a aussi discuté des moyens pour obtenir le label bio.


Voici les 5 grands apprentissages à garder sous la main si vous voulez franchir le cap du bio dans votre projet :


1. Le label bio, ce n’est pas (juste) un logo vert

C’est un cadre légal strict, commun à toute l’Europe. Il régule chaque étape : production, transformation, distribution. Si vous apposez “bio” sur une étiquette, un flyer ou votre site web, vous devez être certifié. C’est à la fois un gage de crédibilité pour votre client et une barrière à l’entrée… que vous pouvez franchir avec les bons outils.



2. S'approvisionner en bio, c’est possible en Belgique (et pas si compliqué)

La bonne nouvelle ? Il y'a plus de 2000 opérateurs certifiés en Wallonie / Bruxelles : agriculteurs, transformateurs, grossistes, coopératives...

Vous cherchez du lait, des œufs, de la farine, des légumes ou même du chanvre bio ? On peut en trouver localement.

Des répertoires existent : Biowallonie.com/acteursbio, JeCliqueLocal.be, et surtout, les salons et événement pros sont une mine d'or pour tisser des liens.


3. Pas de bio sans traçabilité béton

Le bio, c’est aussi une rigueur documentaire : savoir qui produit quoi, quand, comment. Et si vous êtes en transformation, il faudra être capable de justifier chaque ingrédient, chaque lot, chaque étiquette. Mais pas de panique, Foodup et Biowallonie ont des outils concrets : modèles d’enregistrements, matrices de traçabilité, checklists…


4. Certification : une étape à préparer, mais accessible

Pour être certifié bio, il faut :

  • Choisir un organisme agréé (Certisys, Tuv Nord, etc.)

  • Signer un contrat et notifier son activité

  • Réussir un audit initial


Coût de base en 2025 : à partir de 855 € HT/an pour un transformateur. Mais ce n’est pas forcément plus cher que de bosser sans cadre clair : vous gagnez en légitimité, réseau, et visibilité.


5. Être bio, c’est aussi une posture

Oui, le label bio est encadré. Mais il vous permet aussi de défendre des valeurs : transparence, lien au vivant, ancrage local.

Ça ne se limite pas au produit : cela se joue aussi dans votre communication, vos partenariats, votre logistique. C’est là que Foodup peut vous aider à penser global, tout en avançant pas à pas.





Et vous ? Vous hésitez encore à intégrer le label bio dans votre produit ? Venez en parler avec nous lors de nos sessions collectives ou individuelles ! Ou tout simplement rejoignez notre incubateur Foodup.



 
 
 

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Photos @legreenstudio @Gauthier Houba @visit.brussels

Anna et Manon unissent leurs forces pour créer "Les Surettes", une gamme de produits à base de sureau. Leur objectif est de valoriser une tradition familiale en proposant une variété de délices à base de cette plante remarquable. Leur premier produit phare est le sirop de fleur de sureau, avec des projets futurs incluant des tisanes, des gelées, et même du vin.

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